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dimanche 20 décembre 2015

Star Wars 7


   J'ai vu un p'ti film mercredi. Star War 7 qu'il s’appelle. C'est d'la merde.
Il n'y a aucune raison valable pour que je m'y attarde : Il est inintéressant, et la franchise est inconnue.
Je vais plutôt aller voir le 14ème film dans lequel joue Kev Adams pour cette année.

Le bisou.
Guy.

Ps: J'allais vous mettre une image d'enfant heureux. Mais en tapant sur google, il m'a été suggéré "happy boy swag".
Je n'ai pas pus résister.



Résultat de recherche d'images pour "happy boy swag"

Regardez  comme il est heureux. Il utilise sa passion (le skate) pour faire passer son message. La photo est travaillée, le filtre est unique et provoque en moi des envies bestiales, et les éléments sombres (poils sous les bras, skate, et lunettes) ressortent terriblement et font naître son inexpugnable saveur de sincérité.

PS: On ne veut pas vous faire de réelles critiques de star wars.

lundi 26 octobre 2015

Critique n° 4 : Seul sur Mars

Seul sur Mars:
                     
         (Sir) Ridley Scott est un petit pédé.
(Y’a vraiment que sur ce blog que vous pourrez voir ce genre de truc en intro. On est des thugs, on l'assume et on filtre les commentaires des mecs qui lisent les Inrocks et Chronikart en buvant leur thé bio. On les piste à partir de leurs IP Web et on vient leur casser la gueule. Faut bien s'occuper le weekend)
         En fait nan, je déconne, calme toi. C’est pas vraiment un petit pédé. Le mec a pondu trop de classiques qui tuent pour en être un (genre Alien, Blade Runner ou même Gladiator sisi). À côté de ça, il a aussi pondu des trucs pas aussi déments mais avec assez de gueule et de panache pour montrer qui c'est le papa (genre Kindgom of Heaven, American Gangster, ou même Prometheus, sisi), ainsi que quelques films plus oubliables, qui, comparés à ceux cités plus hauts, font vraiment plus merdiques (on ne citera donc pas 1492 Christophe Colomb, Lame de fond, Les associés et Cartel, ce serait méchant).
                                                     
Bref, force est de constater que le mec a une filmo en dent de scie. Alternant le vraiment (vraiment) top donc, et le moyen très bien foutu.

On se pose légitimement la question qui suit :
Ridley Scott artiste visionnaire culte ou "simple" artisan du cinéma chevronné ?
(Celui qui ne se pose pas légitimement la question peut à partir de cet instant précis aller se faire foutre).
Bien. La question est vraiment ardue. S'il apparaît clairement qu'un mec de la même génération de Scott comme Scorsese appartient à la première catégorie, et que son frère Tony appartient à la seconde, le cas Scott est ambigu. Comme son dernier film.

Seul sur Mars n'est pas un grand film. Il lui manque quelque chose. (L'innovation ou l'audace technique d'un Gravity ou le côté opératique d'un Interstellar, tous deux sortis récemment, par exemple.)
Mais il ne faut pas bouder le dernier film de Sir Scott pour autant.
Après quelques minutes de visionnage, un constat s'impose. La visée de Seul sur Mars est très différente de celle des deux exemples cités plus haut ou que même du reste des autres œuvres de la filmographie de Scott, souvent nihilistes et torturées. Seul sur Mars, lui, est un film amusant.

 Pas non plus une vraie comédie, mais il n'aurait pas à rougir si on le catégorisait en comédie dramatique. Il est ainsi beaucoup plus léger et cocasse que le film de survival dans l'espace pesant auquel on pouvait s'attendre .Le montage très fluide est ainsi à souligner.
Après... À part quelques séquences ou Scott expose son savoir faire d'artisan technique doué, il faut dire que ça ronronne... Le ton volontairement badin fait que l'on ne peut pas être trop préoccupé par le seul du personnage campé par Matt Damon (j'ai oublié son nom), on suit ses péripéties et ses mésaventures d'un œil parfois amusé mais toujours avec certain recul.
On sait d'avance qu'il va plus ou moins s'en sortir, et puis bon. Vu que lui même le prend à la rigolade...
Au delà de ça ; le film fait quand même penser à un spot de pub de deux heures pour la NASA et Jessica Chastain est vraiment bonne. Pas ta mère.
Voilou. Je donne donc la mention "cool + " .
Maintenant casse toi.

Au fait Guy de K. est actuellement souffrant. Il a chopé la syphilis à force de se faire sodomiser à sec et sans protection par son oncle.
Mais ne vous inquiétez pas, depuis qu'il a trouvé l'amour avec une jeune trisomique atteinte d'autisme, il est très content. Mais il continue d'avoir sacrément mal au cul.


Paul D.


             On s'en branle du film du vieux. Faut juste savoir que dans l'équipe, y'a une rousse et elle est bonne. Genre vraiment. Vraiment vraiment bonne. Jessica Chastain est l’actrice de SF la plus bonne depuis Georgia Moffett. Sérieux, la rousse est vraiment vraiment bonne.

Pouf pouf.

Seul sur Mars, est, en gros, un Man Vs Wild sur mars.
Sans déc', j'ai un peu de mal à comprendre la volonté du film. Le taxer ne blockbuster potable ne serait pas illégitime.
L’intérêt du film n’est pas la réalisation, ni le jeu d’acteur (assez lisse), et pas non plus les effets spéciaux (bien qu’ils soient tout à fait au niveau). D'un autre coté, l'ambiance est assez traître : faut-il rire face au héros facétieux ou avoir peur pour lui ?
                Les blagues sont assez prévisibles, du moins autant que les rebondissements dans l'intrigue, et on a finalement assez de mal à s’inquiéter pour le Mark Prout ( Matt Damon). On n'est pas non plus hilares, parce que l'intrigue parallèle repose sur les discussions très sérieuses entre les scientifiques de la Nasa qui essayent de ramener Monsieur Prout sur la terre. On ne ressent donc pas grand chose pour le héros. Perso ; j'étais plutôt concentré à mater la rousse qu'est bonne.
Le film, les personnages, et surtout l'astronaute Prout ne m'ont donc pas marqué (tellement pas que je ne me souviens pas non plus de son nom. L’appeler "Prout" me semblait être un bon compromis. Et comme je suis poli, je l'appelle "Monsieur Prout").
               
On a malgré tout des points positifs.
D’abord, c’est un peu con, mais c’est toujours un plaisir de voir les performances de Michael Peña, et surtout de savoir qu’il joue dans de plus en plus de films. C’est aussi un plaisir de voir jouer Jessica Chastain, qui, je vous le rappelle, est bonne.
                Après je pense que l’intérêt principal du film est de faire un truc scientifiquement viable qui vous en mette plein la vue. On a vu une multitude de critiques scientifiques sur le net disant que c’était un peu tiré par les cheveux, mais que globalement ça allait. Question spectacle ; c’est un gros budget, avec tout de même Scott aux commandes, donc ça va.

Mais ce qui me fait le plus plaisir c’est voir l’ampleur que prend la science, et particulièrement l’astronomie, dans la culture populaire.  J’en veux pour preuve l’excellente Exoconférence d’Astier, le retour proche de C’est pas sorcier, toutes les émissions qui pullulent sur le net ( Axolot, E-penser…), et la série de gros films sur le sujet ( même si pour Seul sur Mars, c’est exagérément pro-ricain –je me demande même si ce n’est pas du second degré..-).

Et moi, j’aime bien l’astronomie.   

Seul sur Mars, est malgré tout un film que je conseille, parce qu’il est cool. On a tout de même plus de 2h de Ridley Scott sans s’emmerder devant l’écran.

Je vous laisse, je dois aller vérifier le déroulement du tournage du film porno de la mère de Paul. C’est elle le special guest. Le réalisateur, Hans, est un allemand très gentil. Puis il est à la fois réalisateur et acteur. En tant que producteur, cela m’est très important de voir un homme qui s’investit autant. C’est l’histoire d’un homme qui se retrouve le sexe coincé dans le cul d’une femme sans pouvoir en sortir, heureusement il est aidé par l’agence américaine spécialisée ; « L’ANAL ».
Vous pourrez retrouver « Seul sur MILF » sur les sites de Marc Dorcel.  Tapez le code promo MEGA BAISE pour une réduc de 2€.


Guy de K. 

Critique n°3: Youth





                                                  Youth                                                                                                              
  


                                                                                                  20/10/2015

Poseur ?
       Certes (faut pas oublier que c'est un rital qu'est derrière la caméra), mais dégageant un amour du cinéma qui transparaît sur chacune de ses images (sublimes), le dernier Sorrentino se permet, entre deux fulgurances visuelles, quelques moments de grâces et de poésie cinématographique pure, que les acteurs principaux délivrent des performances magistrales. Michael Caine bien sûr, mais aussi Harvey Keitel injustement moins acclamé. Bref Sorrentino est décidément un des meilleurs cinéastes contemporains et rejoins mon top perso.
        Au fait, j'ai récemment appris l'impuissance sexuelle de Guy de K (se carrer ses pilules de viagra dans le cul n'est pas forcément une idée brillante d'autant que notre ami est déjà affublé d'un anus artificiel "pour le fun" ). Je me devais de vous l'annoncer. Cordialement.
Le bisou.
Un autre bisou.
Maintenant va bien te faire enculer.

Paul D.


                Poésie ? Beauté ? Art ? Youth est au cinéma ce que le bœuf bourguignon d’une grand-mère à l’affection pulpeuse est à la cuisine.
              Le film pose plusieurs réflexions artistiques (l’amitié, la musique, le rapport à la vieillesse…) et est assez burné pour critiquer le milieu de l’art et du cinéma. Les acteurs sont toujours justes (même la prostituée, seul sursaut de beauferie, révèle un coté incroyablement humain), l’intrigue est reléguée au second plan mais l’œuvre nous captive.
              La réalisation qui propose des plans originaux, intelligents, dotés d’un incroyable sens esthétique n’y est pas pour rien.
Finalement ; que dire sur Youth ? Sinon que ce film est beau, artistique, poétique, introspectif et même parfois comique. Pis, y'a du nichon, et Maradona. 

J’apprends, en ce moment même, une nouvelle digne d’un grand intérêt ; le connard que je pensais à avoir muselé dans ma cave est le premier cas combiné de Sida, d’hépatite B, d’une Balanite, d’irritations vulvo-vaginales, et de mycoses diverses et variées. C’est monsieur le curé qui va être déçut de perdre l’un de ses plus fameux enfants de chœur.



Guy de K.



Désolé pour les problème de typo, les ingénieurs de la Nasa sont sur le coup.

jeudi 20 août 2015

Critique N°2 : Massacre à la Tronçonneuse.

Massacre à la Tronçonneuse.                                            20/08/2015


(Note: cette critique a été écrite dans la cave de  Guy où je suis toujours séquestré , comme il m'a  supprimé l'eau potable, il a bien fallu que j'écrive cette merde). 

  Massacre à la tronçonneuse, ou le film qui continue de te baiser, 40 ans après.
Bon, soyons honnête, si le film a (un peu) vieilli, le choc reste intact. Dès la scène pré-générique et son totem de cadavres , le jeune réalisateur Tobe Hooper (dont c'est le deuxième film) pose les bases d'un univers crade, glauque, mais où perce une certaine forme d'humour (noir) dans la folie furieuse ambiante.
À le voir aujourd'hui,dans l'aprèm, les volet ouverts, avec des potes (TRKL OKLM QUOI) soit les conditions nécessaires pour tuer la vision de n'importe quel film de genre, on peut QUAND MÊME ressentir la hargne du mec dont le premier film a fait un four.
 Aussi, si la forme possède une sensation de déjà-vu, (5 jeunes potes insouciants qui se font buter un-à-un par un Boogeyman , la final-girl qui lui survit ...) c'est bien parce que c'est lui qui imposera ce carcan sans forcément le vouloir, posant ainsi les bases de ce qui deviendra plus tard le Slasher (même si Psychose en est le véritable ancêtre pour certains les plus pointilleux).
Faites une conclusion vous-même, et allez vous faire foutre.

Paul D.


  Pour les informations techniques chiantes, et l'étalage de culture correspondant à un copier/coller sur wiki, l'autre connard s'en est chargé.
Je vais pouvoir passer à la partie qui m’intéresse le plus ; le fond. Je n'aime pas les films d'horreur, je trouve ça désagréable. J'en ai réellement chié avec Word War Z, qui n'est même pas un film d'horreur. Avec Massacre à la tronçonneuse, c'est différent.
Je pense que pour comprendre ce que le réalisateur veut nous faire ressentir, il faut s'attarder sur le découpage de l'oeuvre.
  Après ce qui peut-être considérée comme l'introduction, arrive le phase "d'exploration". Les personnages et le lieu sont déjà connus. Les rapports entre les protagonistes ne sont pas très développés, mais on en sait suffisamment pour un film d'horreur : Il y a deux couples, et le frère handicapé d'une des deux guenons demoiselles. En effet, ce sont des couples hétéro. Je le précise car cela peut porter à confusion,  En effet, le père de Paul est en couple avec une femme, ce qui ne l'empêche pas de succomber aux délices de la double péné.

La première partie disais-je, (avant l’interruption du malade amateur de bites ci-dessus) consiste en la mise découverte du danger. C'est difficile de vous en dire plus sans vous spoiler, mais on sent toute la rage du réalisateur. J'avoue avoir eu un peu peur que ça parte en film gore inutile. Mais la phase suivante, où l'on comprend qui est réellement le héro du film, mise sur votre imagination... Commence donc un film angoissant plus que sale, avec effectivement une certaine touche de second degré agréable, et qui ne gâche vraiment pas l’immersion. La fin apporte des explications malines à des faits du début du film, le parallèle créé entre l’abattoir et la situation des personnages est plus intéressante. Car, en effet T. Hooper nous démontre que ce genre (pourtant très codifié) peut faire dans la finesse, en économisant les gros plans de boyaux, et en posant la question des conditions d'abattage des bêtes. Bref ; si vous aimez les films d'horreurs, regardez Massacre à la tronçonneuse. Si vous n'aimez pas les films d'horreurs, regardez Massacre à la tronçonneuse. Si vous êtes intéressés par les films qui ont marqués leur génération ; regardez Massacre à la tronçonneuse. Si vous aimez les bons films ; regardez Massacre à la tronçonneuse. Si vous aimez les pizzas ; regardez  Massacre à la tronçonneuse.
C'était Guy de K. , en direct d'une petite ville au nom imprononçable.

Ps : Allez bien vous faire foutre.

lundi 10 août 2015

Visionnages estivaux.

C'est l'été, nous sommes à Paris. Paul est toujours enfermé dans ma cave, et le visionnage de films constitue notre principale source de divertissements. Alors, avant la chroniques sur Massacre à la tronçonneuse qui devrait arriver incessamment sous peu, on s'est dit qu'on allait vous offrir une petite sucrerie rapide. Rien de tel qu'un atelier dégustation.
Voici donc mon avis très tranché sur les œuvres cinématographiques fraîchement visionnées.

-Rock'n Rolla : Vraiment cool.
-2001 L’odyssée de l'espace : Evidemment mythique
-Casino : Evidemment mythique
-Le Loup de Wall Street : Cool, mais tellement en dessous de Casino...
-21 et 22 Jump Street : Excellents.
-Birdman : Bon. Mais chiant et prévisible à mort (en gros faut le regarder pour ses plan-séquences).
-Ghostbusters 2 : Très bon.
-Dumb et Dumber to : Sympa...
-La classe Américaine, le grand détournement : Deux débiles qui découvrent l'utilisation du magnétoscope. Génial. Avec des vrais morceaux de  Dustin Hoffman, Dean Martin, Sinatra, Orson Waells , Robert Redford, Alain Chabat... A voir. Vraiment.
-Nos pires voisins : Sympa, avec un plus pour la réal et le jeux d'acteurs
-Edge Of  Tomoro : Une petite surprise pas dégeu du tout..
-Délire express : Très bon, mais l'interview qui tue, et C'est la fin sont plus aboutis.
-Les Rois du Patin et Ricky Bobby roi du circuit : Will Ferrell, tout simplement (avec une préférence pour le second...)
-A Serious Man : J'aime trop les frères Cohen pour en faire une critique objective... Il était génial.
-Tueurs Nés : Comme l'a très justement dit Paul "c'est le genre de film que le réal n'arrive a faire qu'une seule fois dans sa carrière".
-Fast and Furious 7 : Tout simplement le meilleur film de tous les temps.

Sorties cinéma :

-Ted 2 : Meilleur que le premier, presque du American Dad. Amanda Seyfried a des gros yeux et des chapeaux rigolos. Et elle est bonne.  "On s'amuse bien à l’hôpital".

- Mission impossible 5 :  Très sympa. Dans la ligné de la série.

- Absolutely Anything : Nous nous attendions à un film gentillet et drolatique, mais c'est finalement une très bonne surprise!

- Vive les Vacances (Vacation) : Grosse surprise car vraiment, vraiment très drôle. Du lol en barres. Bon après c'est Ricain, faut aimer le pipi-caca. Mais bon, on y voit la bite de Thor. L'acteur. Pas le vrais. Rendez-vous compte, ça aurait été très compliqué de le faire venir. Il n'habite pas notre dimension. Remarquez, chez Marvel, on est même pas sûr que ça soit une autre dimension. Mais bon, vu la qualité assez naze des films qu'ils sortent. C'est comme mon beau frère ; il parle beaucoup pour ne rien dire. La comparaison ferait pâlir le dernier prix Goncourt, mais je l'emmerde. Tous les beauf à la Cabu achètent le prix Goncourt, mais personne ne le lit. Enfin, disons autant que mon blog. Pourtant nous, on ne fait pas de pub. C'est du bouche-à-oreille. Mais ça na rien de sexuelle, même si y'a moyen de faire des trucs chouette avec la langue et les canaux semi-circulaires. Le kiff.

Ps : Notre petit polisson de chroniqueur a délibérément caché un avis erroné dans ses critiques. Le retrouver pourrait constituer un petit jeux rigolo pour toute la famille, et à la porté de chacun.

Ps: La réponse au petit jeux est évidemment  2001 L'odyssé de l'espace. Ce film est nul. Le réal (un parfait inconnu ) ne s'est même pas donné la peine de finir correctement son film. Tsss.

Ps n#3 : Je viens de voir Arnaque, crime et Botanique, de Guy Ritchie. Plus que Rock'n Rolla, ça a vraiment été une claque, avec une esthétique, un sénario, des personnages qui lui sont propres. Je vais devoir en parler dans une chronique à part.
Je vous laisse avec Paul.
Guy de K.

2001, l'odyssée de l'espace :
Oeuvre visionnaire, démentielle à tous points de vue, choc formel (de la photographie au découpage parfaits en passant par le design), qui continue d'influencer bon nombre de films de SF sortis par la suite, mais n'ayant encore pas (trop) vieillit, elle parvient toujours à leur faire gentiment la nique. Culte! (En revanche, y'a pas trop de scènes de cul, dommage. Faire un truc entre un singe et l'ordi sur du Strauss ça aurait pu être sympa).

Sorties cinéma :

 ANTIGANG (tellement bourrin que le titre est en majuscules) :
Mouais... Étonnant. Quelques bonnes idées de-ci, de-là ,une très jolie photographie (d'autant plus surprenante qu'on s'y attendait pas), une envie manifeste de bien faire, et Jean Reno, impérial et totalement Street-crédible. Par contre, le reste du casting est en roue libre totale (les vannes, de base pas terribles, deviennent vite assez gênantes), le script est boiteux et le final est aussi mou du genoux qu'un téléfilm France 2.

Voilà voilà.


Paul D.

mardi 28 juillet 2015

Critique n°1 : Jack Reacher

26/07/2015

Il pleut.
Alors évidemment, armé de chocolat et de coca, Paul me rend visite. Nous nous asseyons devant mon ordinateur, démarrons la bécane et commençons à énumérer les films susceptibles d'être à la hauteur de cet après-midi, qui a si bien débuté :
Mission impossible sort bientôt ! Toutefois, nous avons chacun déjà visionnés plusieurs fois le 4, le 1 et le 3 me semblent boârf, et le 2 est un nanard qu'il convient de garder dans la perspective d'une soirée tardive, où le manque de discernement et le trop plein de sucre assouplissent notre seuil de tolérance.
Paul me soumet alors l'idée d'un petit Will Ferell des familles ; Frangins malgré eux (Step Brother). Mais faute d'accès direct aux sous-titres français, nous nous rabattons sur Jack Reacher, avec Tom Cruise, et ayant pour réalisateur Christopher McQuarrie (le futur de Mission Impossible 5).
Vous l'aurez compris, cette première critique se portera sur Jack Reacher, sorti en 2012, "adapté" d'un des romans de Lee Child.

  Pour commencer, le scénario est naze. Les méchants sont cons (ou très gentils d'attendre bien sagement le héros dans une maison avec deux pauvres gardes. Ils sont toutefois subtils -c'est sarcastique- : ils ne sont pas réellement dans la maison, non, non, le héros doit lire la grande carte affichée sur le mur, où il est inscrit en rouge "MAISON PRINCIPALE" pour les retrouver). Le twist est convenu, le méchant est russe, et Jack a raison sur tout. Mais c'est un film d'action, alors certains me diront qu'on s'en branle du scénar.
  Ceci dit, je suis forcé d'admettre que la construction de l'enquête à la base de l'intrigue contient quelques bonnes surprises, faisant penser, par quelques sursauts sporadiques, à la grande époque des polars noirs. Ainsi, on a quelques secondes chouettes où le héros enquête dans un bar (car les investigations doivent TOUJOURS choir dans un bar un moment ou un autre). Cela permet une certaine finesse au film, qui ne se contente pas de nous montrer un mec botter des culs durant 2 h 30 (ce qui est assez rare dans les films d'actions pour être souligné).
  Aujourd'hui fréquemment utilisé en cache-misère, le second degré est aussi pas mal présent dans cette oeuvre. Ce dernier est à l’origine de la scène dans la salle de bain (que je ne vous spoilerai pas, car c'est probablement la plus plaisante du film).
  Finalement, la photographie est plate, presque fade car très aseptisée, je n'en ai pas grand chose à dire... Je pense que le point fort du film était les lumières, qui rattrapaient le tout dans les scènes sombres (cf épisode dans le bar), et parvenaient en général à créer une ambiance.
En ce qui concerne la musique, je l'ai elle aussi trouvée sans grand intérêt, mais fiez vous plutôt à Paul ; il s'y connait très bien. Sisi. Il a toute ma confiance. Toute. Vraiment. Et plutôt deux fois qu'une.

En conclusion, pour noter le film, je dirais Boârf +. C'est comme Boârf, mais en un peu mieux. Vous passez un bon moment avec des potes, du sucre, et du gras, et une semaine plus tard vous ne vous souviendriez plus que vous avez visionné Jack Reacher.
C'est tout de même assez frustrant, car on sent que McQuarrie peut faire mieux. Je me console en me disant que Mission Impossible 5 pourra être très bon !

Guy de K.

Comme il ne daigne pas écrire sa putain de critique malgré mes tentatives répétées de lui faire fermer sa gueule en le privant de bouffe, je vais vous livrer tels quels  ce que Paul m'a communiqué en sms (d'où mes réponses en rouge) et par vagues successives. Vous aurez à la fin 3 liens dignes d’intérêt ; l'un des trois vous amènent vers une photo de sa mère. Nue. 

"A priori, Jack Reacher aurait pu se contenter d'être un "Tom Cruise Movie" correct, mais sans plus. C'était sans compter sur les quelques écarts de conduite savoureux du réalisateur Cristopher McQuarrie, qui signe ici son second film. -Je vous passe les quelques insultes à mon égard- 
Le scénario, avec ses airs de déjà-vu, met donc en scène Tom Cruise qu"

Je vous l'avais dis, c'est tel quel. Allez vous faire foutre. 

"Tom Cruise en ex-enquêteur militaire, qui se retrouve à aider une jolie avocate doutant de la culpabilité de son client -c'est faux, elle ne dit jamais ça..enfin bref. Allez vous faire foutre-(ex-sniper de l'armée ayant déjà eu affaire avec Tom Cr...Jack Reacher par le passé), auteur présumé d'une fusillade de masse. - 'sont pratiques ces petites apartés. ça permet de faire la nique à l'autre débile. Et si vous n'aimez pas, allez vous faire foutre-
(Le spectateur, lui, n'est pas dupe. Il sait que c'est pas lui, il a vu le tueur au début du film).
Le script (adapté d'une série de bouquins de gare) est donc prétexte à voir Tom Cruise rétamer la gueule des sbires du méchant entre deux moments d'enquête ; ses lignes de dialogues se résumant à une suite de  punchlines Badass (assez jouissives dans son jusq'auboutissmes) comme en n'on avait pas vu depuis des actionners et autres séries B des 70-80's."

Là je le traite de connard. 
Et vous, allez vous faire foutre. 

"Cependant, quelque chose cloche. La séquence d'ouverture, déjà ; 10 minutes sans aucun dialogue, une scène de suspense qu'on avait pas vu venir"

Ici aussi. 
Et vous, allez vous faire foutre. 

"Avec une impressionnante montée en tension, maistrisé [sic!] qui culmine par un flingague assez brute. Christopher McQuarrie se sert de la mise en scène pour expliciter le fait que CLAIRE EST UNE GROSSE PUTE ET SON AMIE EST UNE VA-NU PIEDS".

Il me semblait important de vous montrer ses talents d'emmerdeur. John Edward ne lui arrive pas à la cheville. Claire et son amie sont sujets à une private joke dans cet article. Bien que celle-ci soit bien dissimulée, vous ne pourriez pas la comprendre, et nous vous demandons de ne pas en tenir compte. Ne vous inquiétez pas, votre éducation cinématographique est entre de bonnes mains. 

Article écrit par: Guy de K, Karl le singe hurleur, Monsieur Attali, véritable source d'inspiration, Paul D, et Fiona la femme de ménage qui a tout écrit pour nous.

Premier lien: https://www.youtube.com/watch?v=79PkbMuhea8
Second lien: https://www.youtube.com/watch?v=Kemj-VBNq8w
Dernier Lien : http://luxuretv.com/videos/torture-et-bondage-extreme-pour-une-jeune-black-2478.html

dimanche 26 juillet 2015

Nöel, nöel.


Je me lance.

Un soir après une discussion enflammée sur la valeur de M. Bay, Paul me fit parvenir un article. Je lui renvoyais alors un commentaire de mon cru. Au fur et à mesure que je commentais la chronique, une idée folle germa dans mon esprit. D'aucun aurait soupçonné une intervention séraphique ou archangélique. Paul et moi mettrons ça sur le compte de notre situation temporelle ; il était 2h du mat', mes couilles me démangeaient, et la fatigue a eu raison de nous.

 L'idée ?
Créer un blog de critique cinématographique, dans lequel Paul et moi pourrions donner chacun notre avis. Paul est ici en temps que cinéphile nauséabond et moi en bon fouille-merde. hé bien voilà qui est fait.

Guy de k.





Moi, perso, je vous emmerde. Si j'écris ici, c'est parce que l'autre connard me force, et en bonne âme cinéphile, il faut bien que je corrige ses erreurs d'ignare total.
Sur ce ; le bisou.


Paul D.