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lundi 26 octobre 2015

Critique n°3: Youth





                                                  Youth                                                                                                              
  


                                                                                                  20/10/2015

Poseur ?
       Certes (faut pas oublier que c'est un rital qu'est derrière la caméra), mais dégageant un amour du cinéma qui transparaît sur chacune de ses images (sublimes), le dernier Sorrentino se permet, entre deux fulgurances visuelles, quelques moments de grâces et de poésie cinématographique pure, que les acteurs principaux délivrent des performances magistrales. Michael Caine bien sûr, mais aussi Harvey Keitel injustement moins acclamé. Bref Sorrentino est décidément un des meilleurs cinéastes contemporains et rejoins mon top perso.
        Au fait, j'ai récemment appris l'impuissance sexuelle de Guy de K (se carrer ses pilules de viagra dans le cul n'est pas forcément une idée brillante d'autant que notre ami est déjà affublé d'un anus artificiel "pour le fun" ). Je me devais de vous l'annoncer. Cordialement.
Le bisou.
Un autre bisou.
Maintenant va bien te faire enculer.

Paul D.


                Poésie ? Beauté ? Art ? Youth est au cinéma ce que le bœuf bourguignon d’une grand-mère à l’affection pulpeuse est à la cuisine.
              Le film pose plusieurs réflexions artistiques (l’amitié, la musique, le rapport à la vieillesse…) et est assez burné pour critiquer le milieu de l’art et du cinéma. Les acteurs sont toujours justes (même la prostituée, seul sursaut de beauferie, révèle un coté incroyablement humain), l’intrigue est reléguée au second plan mais l’œuvre nous captive.
              La réalisation qui propose des plans originaux, intelligents, dotés d’un incroyable sens esthétique n’y est pas pour rien.
Finalement ; que dire sur Youth ? Sinon que ce film est beau, artistique, poétique, introspectif et même parfois comique. Pis, y'a du nichon, et Maradona. 

J’apprends, en ce moment même, une nouvelle digne d’un grand intérêt ; le connard que je pensais à avoir muselé dans ma cave est le premier cas combiné de Sida, d’hépatite B, d’une Balanite, d’irritations vulvo-vaginales, et de mycoses diverses et variées. C’est monsieur le curé qui va être déçut de perdre l’un de ses plus fameux enfants de chœur.



Guy de K.



Désolé pour les problème de typo, les ingénieurs de la Nasa sont sur le coup.

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